S’il y a un athlète, il y a un Entraîneur. Ce n’est pas à définir en opposition.
39 Entraîneurs encadrent 163 des 333 qualifiés aux France Ju-Es-Se, soit 48%. Presque la moitié par seulement…39 !
Des foyers, parfois organisés, le plus souvent nés d’un passionné. 6 femmes sur 155, on reste désespérément à 4 %.
27 professionnels sur les 75 qui ont aidé plus d’un QF. 36 % c’est une augmentation considérable. On était à 1/6 avant la pandémie.
41 clubs dans la Ligue ont au moins 1 personne recrutée. 8 retraités seulement sur ces 75 (11 %). Va-t-on enfin tordre le cou aux annonces défaitistes ?
5 enseignants seulement en plus de 5 enseignants retraités (14 %). Baisse catastrophique évidemment.
La moyenne d’âge de ces Entraîneurs est légèrement inférieure à 50 ans, ce avec 4 septuagénaires et 1 octo !
Là aussi il est nécessaire d’enregistrer l’important rajeunissement depuis le 21e siècle.
Le turn-over est toujours assuré : la vingtaine d’Entraîneurs perdus en une olympiade, est régulièrement remplacée, là encore contrairement à des propos souvent répétés sur seule impression. Aucun affaiblissement de l’encadrement technique. La lassitude a été parfois évitée par la mise en couple !
Dans quelques jours, cela fera 1 an que Pierre Carraz nous aura quitté. Nous pensons évidemment aux autres entraîneurs emblématiques de la région qui sont partis.
Jean-Jacques Behm / Grégory Duval